Alejandra Flichman

projet de territoire

Je tente d’inscrire mon travail artistique dans une réflexion liée à la transformation sociale, autant dans la production artistique que dans la manière de la mettre en jeu. Je souhaite associer la création à l’action culturelle, ou au moins les brasser, les confronter, les lier. Je ne considère pas le spectacle comme un outil de divertissement mais comme un outil d’émancipation, autant pour celles et ceux qui le font que pour celles et ceux qui le reçoivent.

C’est la rencontre d’une sphère et d’une fille. Cette sphère n’existe que par les tangentes qui la caressent.

Mise en mouvement
d’un objet
d’un corps
de l’un et l’autre
l’un avec l’autre
du public
dans le paysage

C’est un travail sur les perspectives, les distances, dans le rapport au public. Des images vues de loin qui se rapprochent, le public se rapproche de l’image jusqu’à la toucher, entendre la respiration.
C’est aussi une promenade pour le public. Une marche d’approche. Écouter le silence. Écouter avec autre chose que ses oreilles.

Début de recherche en 2016 dans les Cévennes chez Michel Péna, dans le Tarn chez Laurent Cabrol et Elsa De Witte, Cie Bêtes de Foire
1ère sortie de résidence en Octobre 2016 accueillis par le Citron Jaune-Centre national des arts de la rue et de l’espace public-Port St Louis du Rhône, aux Marais du Viguirat en Camargue.
Résidences de travail l’été 2017 dans les Hautes Alpes, en Aveyron chez l’habitant.
Partenariat en cours (projet d’infusion) 2019-2020 avec L’Usine-Centre national des arts de la rue et de l’espace public – Tournefeuille / Toulouse Métropole 

Dossier artistique à télécharger ici

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